Bernard GELOT, bénévole au club depuis des années nous raconte son histoire avec le hand et son rôle en tant que bénévole.

Peux tu te présenter ?

Je suis Bernard Gelot, âgé de 72 ans et résidant à Sevremont, en Vendée. Je suis un vrai Vendéen de naissance. J’ai passé 42 ans de ma vie à travailler pour la même entreprise, où j’ai commencé comme apprenti avant de gravir les échelons jusqu’à devenir responsable d’entreprise. 

Quel est ton rôle au PVHB ?

Mon rôle dans le handball de Pouzauges a débuté il y a 25 ans lorsque mon fils a commencé à jouer. J’ai pris en charge l’intendance de la Nationale 1, j’ai enregistré les matchs. Puis, jusqu’à cette saison, j’ai été responsable de salle. Par le passé, je me suis occupé des activités de loisirs avec le club. Depuis que mon fils est arrivé ici, je l’ai toujours suivi, dès sa période en moins de 13 ans. Maintenant je continue d’apporter mon aide pour divers petits travaux, comme la mise en place des bâches partenaires et la vérification des filets…

Comment es-tu arrivé ici ? 

J’ai toujours été présent pour accompagner mon fils aux déplacements en bus, notamment avec les moins de 18 ans. Puis, j’ai pratiqué le handball. J’ai commencé à Saint Michel, et j’ai continué à Pouzauges. Mon expérience ici était agréable. Je n’étais pas un joueur d’élite, j’étais souvent placé dans les buts, mais j’étais surtout là pour aider l’équipe. Pour la petite anecdote, lorsque nous partions en déplacement, j’étais souvent désigné comme le conducteur, car j’étais l’un des rares à ne pas consommer d’alcool.

Fais-tu toujours du hand ? 

J’ai arrêté l’année dernière. J’ai été licencié pendant 24 ans, et pendant cette période, j’ai participé à des petits matchs. Le handball loisir était pour moi l’occasion de passer du temps avec des amis, de m’amuser et de créer des souvenirs.

Peux-tu nous parler d’un souvenir mémorable au club ? 

Un de mes souvenirs les plus marquants au club est la finale des moins de 18 Nationaux à Mâcon en 2005. L’équipe a remporté la finale du Challenge de France, et cela reste un moment mémorable pour moi. Ce qui rend ce souvenir encore plus spécial, c’est que cela aurait pu ne pas se produire, car c’était à huit jours près du mariage de ma fille et j’aurais manqué cet événement.

As-tu transmis ta passion à ta famille ?

Oui, mes enfants et mon petit-fils font du hand. Mais j’ai principalement transmis ma passion du handball à mon fils. Au départ, je jouais au handball à Saint Michel, tandis que mon fils jouait au football. Cependant, lorsque j’ai arrêté à Saint Michel, j’ai rejoint l’équipe de handball loisir à Pouzauges pour suivre mon fils, qui avait décidé de quitter le football pour le handball à l’âge de 11 ans. Ma fille a également joué en nationale aux Herbiers avec Carole, et même mon petit-fils est actuellement membre du club.

Vie du club