Oumar DIALLO, nouvel arrière gauche pouzaugeais, nous parle de son parcours de handballeur : de ses débuts à Troyes jusqu’à la prochaine CAN, en passant évidemment par son arrivée au PVHB.


Quel est ton parcours en tant que joueur de handball avant d’arriver à Pouzauges ?


Alors, j’ai commencé à l’ETAC Handball à Troyes. C’est là-bas que j’ai fait toute ma formation de mes 11 ans à mes 18 ans. De la catégorie 12 départementaux aux -18 nationaux. Ensuite, en parallèle de mes études, j’ai joué dans plusieurs  clubs nationaux dont Bruges 33, SCO Angers et Poitiers en Nationale 1.

Comment s’est déroulé ton intégration au sein de l’équipe et dans le club ?

J’ai été bien accueilli par l’ensemble du club, que ce soit par les joueurs, les coachs et les dirigeants. Il n’y a eu aucun souci au niveau de l’intégration. Cela s’est fait plutôt rapidement.


Quelles sont tes impressions à propos de la Furia après 4 matchs à domicile ?


Très très bonne ambiance ! Avec du recul, on sent qu’il y a un réel engouement derrière l’équipe, et le club en général. Tout le monde est à fond, et surtout tout le monde « joue le jeu » pour donner de la voix, que ce soit les supporteurs ou les bénévoles. On sent qu’il y a un gros travail de tout le club.

Quelles sont tes ambitions pour la CAN (Coupe d’Afrique des Nations) qui arrive à grands pas ? (du 13 au 23 janvier)


Il y a des ambitions collectives et personnelles. Pour le collectif, on a l’ambition, avec la Guinée, de faire mieux qu’il y a deux ans, c’est-à-dire passer le cap de la phase éliminatoire pour être dans la poule haute. Et concernant mes ambitions personnelles, c’est d’aller chercher une place pour les prochains championnats du monde en 2023.

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