Alain CAIGNON, co-président du PVHB avec Dominique BOSSARD depuis 2019, nous parle de la reprise du handball, notamment du championnat de Nationale 1.

Depuis quelques mois le PVHB attend avec impatience la reprise, comment les dirigeants se sont préparés en coulisses ?

Le conseil d’administration attend avec impatience la reprise. Nous sommes tous en manque de handball. Nous avons hâte de retrouver notre Salle de l’Etoile avec notre Furia et tous les shows qu’il peut y avoir. La préparation s’est faite en prenant en compte les contraintes du Covid. Par exemple, les engagements d’équipes ont été perturbés car les signatures de joueurs, seniors comme jeunes, ont été bouleversés par les arrêts successifs des compétitions.

Que pensez-vous du championnat de Nationale 1 de cette année et des futurs adversaires du PVHB ?

C’est un championnat serré que nous n’allons pas forcément découvrir puisque la poule est quasiment identique à celle de la saison dernière. Même si nous avons peu joué, nous connaissons bien, voire très bien les équipes adverses. Pour les autres clubs, comme pour le PVHB, le Covid a posé des problèmes, donc nous ne pouvons pas réellement savoir ce que nous et nos adversaires valons. Nous commençons donc tous ce championnat avec des interrogations.

Comment s’est déroulé l’arrivée de Gauthier MVUMBI ?

Le recrutement de Gauthier MVUMBI s’est fait grâce au hasard. Il voulait évoluer dans un club familial et connaissait le PVHB notamment grâce à son aura extérieure. Lorsque nous nous sommes déplacés à Dreux, il n’avait pas joué contre nous, mais est venu au match, ce qui l’a encouragé à nous rejoindre. De plus, nous étions à la recherche d’un pivot suite au départ de Guilhem. On a trouvé un terrain d’entente sans faire de folie. L’arrivée de Gauthier va nous apporter tant dans l’effectif de Nationale 1 que dans l’image du club. Sa gentillesse et son accessibilité vont plaire aux supporters pouzaugeais.

Quels messages avez-vous envie de faire passer à vos partenaires actuels et vos futurs partenaires ?

On les remercie pour leur soutien durant ces deux dernières années de pandémie, difficiles pour tout le monde. Ils nous ont accompagnés dans la mesure de leurs moyens. La ville de Pouzauges n’étant pas très grande, l’entraide et la solidarité de nos partenaires et des collectivités envers le PVHB ont été très bénéfiques pendant cette période de Covid.
Certaines entreprises nous suivent depuis de très longues années, voire depuis le début de l’aventure du PVHB. Pour nos partenaires, notre objectif est de les relayer, de les soutenir et de les accompagner au maximum de nos capacités. La publicité, le partage de leur logo font partie de nos engagements envers nos partenaires. Aujourd’hui, toutes les entreprises peuvent nous rejoindre tant qu’elles ont la volonté d’accompagner un club qui rayonne dans quasiment la moitié de la France, de Granville à Pau. L’équipe de Nationale 1 ainsi que toutes les équipes seniors et jeunes véhiculent cette image positive et dynamique du PVHB.

Quels messages voulez-vous faire passer aux licenciés et bénévoles du club ?

Pour le handball ou tout autre sport, les licenciés ne doivent pas hésiter à se lancer et retrouver les salles et terrains. Dès le plus jeune âge, les enfants peuvent venir essayer le handball et peut-être découvrir une nouvelle passion. Également, les bénévoles sont indispensables. Nous avons besoin d’être aidé. Les bénévoles sont la source et le pilier du PVHB et nous voulons poursuivre de fédérer tous nos volontaires. Il ne faut pas hésiter à venir nous voir. Nous avons besoin de tout le monde.

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